Les histoires de Nasreddine
Voici quelques textes écrits par les élèves suite à la lecture des Histoires de Nasreddine.
La mort
Nasreddine monte à l’arbre et s’assoit sur une branche. Il commence à la scier et un monsieur qui passe dessous lui dit : « Petit, tu vas tomber ! » Nasreddine ne l’écoute pas et tombe. Alors il court vite vers le monsieur et dit : « Vous pouvez me dire quand je mourrai ? » Le monsieur lui dit : « Quand ton âne pètera trois fois. » Nasreddine lui dit merci.
Il rentre au village et son âne pète une fois, Nasreddine a peur. Son âne pète une deuxième fois, Nasreddine à très peur et prend un bâton et l’enfonce dans le derrière de l’âne. Il pète une dernière fois et le bâton tape dans le front de Nasreddine qui dit : « Je suis mort. »
Ryan
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La mort
Un jour, Nasreddine monta dans un arbre et il coupa une branche. Un homme l’a vu et lui dit : « Nasreddine, pauvre fou, fais attention ! » Nasreddine ne l’écouta pas et il continua à couper la branche. Tout à coup, la branche se cassa et il tomba. Il alla voir l’homme et lui dit : « Monsieur, comment avez-vous fait pour savoir que j’allais tomber ? Et sais-tu quant je vais mourir ? ».L’homme prit un air sérieux et dit : « Quand ton âne pètera trois fois de suite ! » Nasreddine dit : « Merci monsieur, au revoir. »
Nasreddine promena son âne et il entendit un pet. Après il en entendit un deuxième et il commença à stresser. Il entendit un troisième pet et il s’allongea par terre en fermant les yeux. Ensuite il entendit une dispute ; les gens disaient « À droite c’est plus rapide. - Non à gauche ! » Nasreddine se leva et dit : « Quand j’étais en vie, je prenais toujours à gauche. » Et il s’allongea en fermant les yeux.
Dylan
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La mort
Un jour, Nasreddine monta dans un arbre et s’assit. Puis, il commença à scier la branche où il était assis. Un homme passa et lui dit : « Tu es fou de scier la branche où tu es assis. » Nasreddine ne l’écouta pas. Soudain il tomba par terre en même temps que la branche. Nasreddine courut vers l’homme et lui dit : « Monsieur, vous êtes un savant, alors dites-moi quand je vais mourir ? » Le monsieur répondit : « Tu mourras quand ton âne pètera trois fois. »
Sur le chemin du retour, l’âne de Nasreddine péta une fois, Nasreddine s’inquiéta. Quelques pas plus tard, l’âne péta une deuxième fois, alors Nasreddine s’affola. Plus loin, il vit une branche ronde alors il la prit et l’enfonça dans les fesses de l’âne pour qu’il ne pète plus. Un peu plus loin, l’âne péta une troisième fois, la branche qui était dans les fesses de l’âne partit sur le front de Nasreddine et alors il dit : « Voila, je suis mort. » Il s’allongea par terre et fit le mort. L’âne, lui, continua sont chemin et rentra chez lui. Khadîdja, la femme de Nasreddine, vit que l’âne rentrait seul, alors elle s’affola et cria « Au secours, au secours !!! » Tous les gens du village se rassemblèrent pour célébrer la mort de Nasreddine. Les personnes qui portaient la civière se disputèrent pour savoir où aller : « Il faut aller à gauche ou à droite. » Nasreddine lui qui était dans la civière dit : « Moi quand j’étais vivant, j’allais à gauche. »
FIN
Lucie
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La mort
Il était une fois Nasreddine qui promenait son âne. Il arriva en forêt pour couper du bois. Il coupa un arbre, deux arbres, trois arbres… Au cinquième arbre, un monsieur arriva et lui dit : « Attention tu vas tomber avec ta branche. » Nasreddine coupa la branche et se retrouva par terre. Il alla voir le monsieur et lui demanda : « Comment avez-vous fait ça, vous êtes incroyable, vous pouvez me dire quand je vais mourir ?
- Quand ton âne pètera trois. »
Nasreddine le remercia et partit chez lui.
Au retour, l’âne péta une fois. Nasreddine eut peur, quelques pas plus loin, l’âne péta une deuxième fois. Nasreddine planta un bâton dans le derrière de l’âne. Il péta une troisième fois et le bâton partit dans la tête de Nasreddine qui tomba par terre. Le soir, Nasreddine ne rentra pas, sa femme inquiète partit à sa recherche. Elle retrouva Nasreddine par terre avec l’âne. Elle alla chercher une personne pour transporter Nasreddine. Sa femme et l’homme se disputèrent, sa femme voulait allait à gauche et l’homme l’inverse. Nasreddine se leva et dit : « Quand j’étais vivant, je passais à gauche. »
FIN
Maxim
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La souris savante
Un jour, Khadîdja, la femme de Nasreddine, dit à son mari : « Nasreddine, il reste juste assez de couscous pour trois jours, il faut que tu trouves du travail !
- Pas besoin, répondit Nasreddine, prépare tout le couscous et attrape deux souris identiques. »
La femme s’empressa de préparer tout le couscous et d’attraper deux souris, pressée de savoir les intentions de son mari. Il attacha une des souris à un fil et prit l’autre dans une cage puis partit au bar. Quand il arriva, ses amis lui dirent : « Nasreddine, tu es complètement fou ! Un oiseau, d’accord mais une souris…
- Mais ce n’est pas une souris comme les autres, c’est une souris savante, répondit Nasreddine. Souris va dire à ma femme de préparer beaucoup de couscous. Chers amis je vous invite dit-il en ouvrant la cage. »
A midi, tout le monde fut étonné de la performance de la souris. Et Mustapha l’acheta pour 500 dinars, il dit : « Je vous invite. Souris va dire à ma femme de préparer à manger. » Et il ouvrit la cage. Quand ils arrivèrent chez Mustapha il n’y avait ni souris ni repas. Il se plaignit que c’était de l’arnaque mais Nasreddine lui répondit : « Lui as-tu donné ton adresse au moins ? Elle ne peut pas trouver ta maison ! » Et Nasreddine garda l’argent.
Hélène
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La souris savante
Nasreddine dit à sa femme : « Prépare du couscous et ramène-moi deux souris identiques. » Nasreddine plante un clou dans le mur et attache une laisse à la souris. Il prend l’autre souris et l’amène au bar. Il dit à Mustapha : « C’est une souris savante ! » Nasreddine dit à la souris d’aller dire à sa femme de préparer du couscous et que ses amis vont manger à la maison. Ils arrivèrent chez lui et virent la souris attachée à une laisse et sa femme en train de faire du couscous. Mustapha lui demanda de l’acheter 100 dinars. Nasreddine dit non, alors 500 dinars. Il fut d’accord. Alors Mustapha amène la souris au bar et lui dit d’aller dire à sa femme de préparer du couscous parce qu’il amène des amis. Quand ils arrivent chez lui, ils voient sa femme en train de se maquiller.
Valentin
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Les histoires de Nasreddine
Nasreddine monta sur un arbre et scia une branche. Un homme passa il lui dit : « Attention tu vas tomber avec ta branche ».
Nasreddine tomba soudainement de sa branche en écrasant une souris et en blessant une autre. Il courut pour rattraper l’homme et il lui dit : « Toi qui sais tout, quand mon âne va-t-il mourir ?
- Quand tu es tombé, tu as écrasé une souris et la deuxième est blessée, va la récupérer, et si elle meurt, ton âne sera malade et il ne pleuvra plus dans ton village ».
Nasreddine essaya de tout faire pour arriver avec la souris vivante chez lui. Mais l’âne péta et la souris partit s’écraser sur la maison de Mustapha, alors Nasreddine s’écroula et il dit : « Ça y est, je suis mort et mon âne sera malade et il ne pleuvra plus. »
Son âne rentra chez lui sans Nasreddine. Sa femme vit l’âne seul, elle chercha son mari, le releva, et Nasreddine lui raconta tout. Au bout de deux semaines, il ne pleuvait plus. Les vieux du village lui dirent : « Toi, Nasreddine donne-nous la pluie ! » Nasreddine leur donna une bassine et leur dit : « Aller me chercher de l’eau ! » Chacun mit quelques gouttes d’eau, puis ils ramenèrent la bassine. Nasreddine lava sa djellaba et renversa l’eau. « Tu es fou » lui dirent les vieux du village. « Aller me chercher de l’eau encore une fois, ordonna Nasreddine. » Les vieux du village renversèrent leurs dernières gouttes puis ils allèrent revoir Nasreddine. Nasreddine rinça sa djellaba, renversa l’eau, et mis sa djellaba à sécher. Et au bout de 10 minutes, il se mit à pleuvoir.
Benjamin