Blog de la classe des Tigres 2010 / 2011

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Les histoires de Nasreddine (la suite)

La  mort

 

  Il était une fois, Nasreddine qui était dans un arbre. Un homme lui dit : « Arrête de scier l’arbre ! » Puis Nasreddine tomba de l’arbre. Alors Nasreddine va vers l’homme et lui dit : « Monsieur, quand vais-je mourir ? - Quand ton âne pétera trois fois. » L’âne pète une fois. Nasreddine commença à trembler. L’âne péta une 2ème fois. L’âne péta une 3ème fois. Nasreddine tomba au sol. L’âne continue la route pour aller chez Nasreddine. Kadija, sa femme, partit voir Nasreddine qui était par terre. Ses amis le transportent puis ils disent : « On va à droite ou à gauche ? » Nasreddine s’assoit et dit : « Moi quand j’étais vivant, je prenais toujours à gauche. »      

 

 

Camélia

 

 

La mort

 

Nasreddine était sur un arbre et coupait une branche. Un homme qui passait par là lui dit :   « Mais tu es fou, tu vas tomber ! » Nasreddine finit de couper la branche qui quand elle tomba entraîna Nasreddine dans sa chute. Alors il s’empressa de rattraper l’homme et lui dit : « Mais tu es devin, tu as su que j’allais tomber. Toi qui es devin, dis-moi quand je vais mourir ! » L’homme vit que Nasreddine était crédule et il lui dit : « Tu mourras quand ton âne pétera trois fois. » Nasreddine partit. Un soir, quand il rentra du champ, son âne péta. Nasreddine s’inquiéta. Sur le chemin, il péta une deuxième fois, il pâlit. Puis une idée germa dans sa tête. Nasreddine prit un bâton et l’enfonça dans le derrière de l’âne, mais l’âne péta si fort que le bâton partit. Nasreddine dit : « Ca y est, je suis mort ». L’âne continua son chemin seul. Quand il arriva chez sa femme, inquiète elle partit à sa recherche. Quand elle le vit par terre elle hurla. Les villageois arrivèrent en courant et Nasreddine fut transporté chez lui dans une civière. Mais certains disaient que par la gauche c’était plus rapide et d’autres disaient le contraire. Alors Nasreddine se leva et il dit : « Moi quand j’étais vivant, je prenais toujours à gauche. » Et il se rallongea.                

 

   

Ellyn

 

 

 

 

 

 

 

La mort

 

 

 

Il était une Nasreddine qui mangeait des raisins. Un homme qui passait lui dit : « Attention malheureux, tu vas avaler les pépins. » Nasreddine ne l’écouta même pas, et, il mangea les pépins. Nasreddine rattrapa l’homme et dit : « Monsieur comment avez-vous fait ? Vous êtes un devin ! Pouvez-vous me dire quand je mourrai ? » L’homme prit un air sérieux et dit : « Quand ton âne pétera trois fois de suite. » L’homme venait à peine de partir que l’âne péta une première fois. Nasreddine avait peur, il se dit : « Ce n’est que la première fois. » Et malheureusement pour lui, il entendit PROUT, l’âne fit son deuxième pet. Nasreddine enfonça  un bout de bois dans les fesses de l’âne. L’âne péta si fort pour la troisième fois que le bout de bois partit dans la tête de Nasreddine. Il dit : « Ça y est, je suis mort. » La femme de Nasreddine cria « Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa ». Tous les villageois se réunirent et portèrent Nasreddine. Sans faire exprès ils cognèrent Nasreddine qui dit « Aïe » et refit le mort.

  

 

FIN

 

Nicolas

 

 

 

 

 

 

La souris savante

 

 

 

Nasreddine a une souris savante. Il dit à sa femme de préparer le couscous pour ses amis. Plus  tard, Nassreddine partit dans le village où il croise ses amis. Comme prévu, il invite ses amis. Il dit à sa souris savante d’aller dire à sa femme qu’elle prépare le couscous. La souris se cacha dans le jardin du voisin. Plus tard, il attacha la souris savante. Le dîner passe, Mustapha dit : « Pour 100 dinars, j’achète la souris ! » Nasreddine dit : « Non, à ce prix, je ne vais pas te vendre la souris ! » Mustapha ajoute 100 dinars et encore 100 dinars jusqu’à ce qu’il arrive à 500 dinars. Nasreddine dit oui. Mustapha invita à son tour ses amis. La femme de Mustapha ne savait pas encore que Mustapha avait la souris. Alors elle s’est moquée de lui. Mustapha  furieux lève le doigt sur Nasreddine. À son tour, il fait semblant d’être en colère. Il dit : « Ça fait deux ans que je t’ai prêté la souris ! » Nasreddine garde 500dinars.

   

Clément

 

  

La pluie et la djellaba

  

Dans le village de Nasreddine, il ne pleuvait plus. Nasreddine dit à tous les vieux du village : « Je sais comment faire revenir la pluie. » Alors, les vieux disent « Fais-le et on fera tout ce que tu veux. » Alors il dit : « Allez me chercher une bassine d’eau. » Les vieux disent : « Mais nous n’avons plus d’eau.» Nasreddine dit : « Je vous connais, je sais qu’il vous reste de l’eau.» Alors les vieux partirent prendre de l’eau. Ils font le tour des maisons du village. Quand ils reviennent, Nasreddine lava sa djellaba. Les autres disent : « Mais tu es fou, tu as gaspillé l’eau qu’il nous restait. » Nasreddine dit : « Ah, vous voulez que je fasse revenir la pluie, allez me chercher une autre bassine d’eau ». Alors ils vont chercher l’eau et Nasreddine étend sa djellaba et il plut. Les autres disent : « Nasreddine tu es un génie ! » Nasreddine dit : « Non c’est que dès que je lave ma djellaba, il pleut ! »

 

Marie



26/09/2010
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